Stéphane Even, fondateur dirigeant
Un questionnement constant
Certains jours, le son restitué par une chaîne HiFi fait vivre des moments de grâce : nos artistes préférés sont présents avec toute l’émotion d’un concert live. Le réalisme semble alors total. Or, la plupart du temps, le son d’un système HiFi, même haut de gamme, a quelque chose d’artificiel et ne permet pas de se « connecter » à l’œuvre musicale. Pendant 15 ans, dans mon métier de concepteur de matériel HiFi, j’ai été confronté à des phénomènes incompréhensibles au vu des connaissances techniques classiques. Dans ce temps, J’ai cherché à comprendre la physique de ces phénomènes en réalisant plus d’un millier d’expériences. Je voyais la HiFi comme une anomalie scientifique, un domaine où l’on ne comprenait pas fondamentalement ce qui faisait la qualité du son.
2015
La découverte
En 2015, ma recherche a abouti. J’ai découvert l’existence d’une perturbation de nature vibratoire à la source d’une majorité des anomalies de la Haute-Fidélité. Cette perturbation se propage par voie solide, dans les câbles, les châssis et les coffrets. Au final, elle interagit par voie aérienne avec le son que l’on cherche à reproduire. Cette émission parasite, qui est en dehors de la bande audio, est responsable d’une perte de définition importante. Plus on absorbe ces effets parasites dans chaque élément du système, meilleur est le résultat sonore.
Le son « parasité » en quelques mots
Une sensation de dissonance
Sur les instruments acoustiques avec ça et là des résonances désagréables sur certaines notes. Les instruments de concert tendent à sonner de manière pauvre comme des instruments d’étude, sans richesse harmonique.
Un déséquilibre tonal marqué
Avec des écoutes aseptisées favorisant les aigus, ou bien des écoutes bouchées ou grasses favorisant le bas du spectre. Chaque élément du système, y compris les câbles, semble avoir une signature sonore propre.
Une sensation de perte de l’ambiance de salle entre les notes
Comme une acoustique trop mate. Il s’agit là d’une perte des micro-signaux si importants pour l’oreille. Les fins de notes sont écourtées et ne ressemblent pas à ce que l’on entend en live.
Une sensation de dureté
De stress et de confusion sur les forte traduisant une incapacité à transcrire les écarts dynamiques.
Une image sonore très aplatie
Sans hauteur et sans profondeur loin de l’effet 3D dont est capable la stéréophonie quand elle est servie par de bonnes prises de son.